Annonce du jour https://t.co/M6oFtWVq0y
— Dominique Anglade (@DomAnglade) September 3, 2022
Aujourd’hui, il y a plus de 270 000 postes vacants. La pénurie de main-d’œuvre est un frein pour notre économie. Malgré tout, François Legault continue de le nier. Il nous disait même récemment que c’est “une mosusse de bonne affaire”. Pendant ce temps, nos travailleurs et nos entrepreneurs sont à bout de souffle.
Pour aider les entreprises qui cherchent à recruter du personnel, pour répondre à la demande du secteur public qui peine à offrir les services à la population, il faut considérer toutes les solutions, notamment une plus grande contribution des travailleurs expérimentés. Malheureusement, ceux-ci considèrent trop souvent qu’il n’y a pas d’avantages financiers à rester ou à retourner sur le marché du travail.
Une vraie solution à cet enjeu, c’est d’offrir des incitatifs financiers aux travailleurs expérimentés. Un gouvernement libéral mettrait de l’avant deux mesures en ce sens :
- Augmenter l’exemption de base d’impôt des travailleurs de 65 ans et plus, de 15 000$ à 30 000$. Cela pourra représenter 2 000$ de plus directement dans leurs poches.
- Mettre fin aux cotisations au Régime de rentes du Québec (RRQ) des travailleurs de 62 ans et plus, sans impact sur les rentes qu’ils recevront à la retraite. Cela pourra rapporter jusqu’à 3 000$ d’économie pour un salarié et 6 000$ pour un travailleur autonome.
Pendant que François Legault se met la tête dans le sable et nie l’enjeu de la pénurie de main-d’œuvre, nous, au Parti libéral du Québec, on trouve de vraies solutions. Avec 271 000 postes vacants actuellement, c’est toute l’économie du Québec qui est freinée par l’inaction de la CAQ. Le vrai parti de l’économie, c’est celui qui agit pour la crise de la main-d’œuvre, c’est le Parti libéral du Québec.
Dominique Anglade, cheffe du Parti libéral du Québec