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La cheffe de l’opposition officielle et porte-parole responsable de la Charte des régions, madame Dominique Anglade, demande au premier ministre Legault d’être transparent avec les Québécois et de dire si oui ou non, son gouvernement compte réellement brancher tous les Québécois à Internet haute-vitesse d’ici 2022.
Depuis plus de 2 ans, la Coalition Avenir Québec parcourt nos régions pour dire aux maires et aux mairesses qu’elle brancherait, d’ici la fin du présent mandat, le Québec à Internet à haut débit. Ce matin, nous découvrons que ce gouvernement sait depuis 1 an qu’il ne pourra pas répondre aux attentes de nos régions et que malgré cela, il a continué de dire le contraire aux élus locaux. Le lien de confiance est brisé.
Aujourd’hui, on apprend que ça fait 1 an que la Coalition Avenir Québec sait qu’elle ne serait pas en mesure de tenir sa promesse électorale : brancher tout le Québec à Internet haute-vitesse avant la prochaine élection en 2022. Pourtant, hier à l’Assemblée nationale, le premier ministre Legault, au lieu de faire preuve de transparence, a dit qu’il allait être capable de rencontrer les objectifs alors que sa ministre déléguée au Développement économique régional, Marie-Ève Proulx, nous parle maintenant de potentielles dates de livraison. Ce que je demande à François Legault, c’est d’être transparent avec les maires et les mairesses du Québec et tous les Québécois. De mettre cartes sur table. Ça fait plus de 2 ans que nos régions se font dire par la CAQ qu’elles vont avoir un accès à Internet-haute vitesse et voilà qu’à mi-mandat, la réalité est tout autre. Si c’est ça le nationalisme du gouvernement Legault, je n’ose même pas m’imaginer sa vision pour le développement et la vitalité de nos régions. La moindre des choses aurait été de faire preuve de transparence avec nos gouvernements de proximité.
–Dominique Anglade, cheffe de l’opposition officielle et porte-parole responsable de la Charte des régions