Rentrée parlementaire - Le gouvernement confronté à la réalité
Retour aux communiqués
Communiqué de presse
27 Novembre 2018

Le gouvernement confronté à la réalité

Rentrée parlementaire - Le gouvernement confronté à la réalité

Merci pour votre intérêt envers le Parti libéral du Québec.

Restez informé(e) en temps réel et échangez avec nous sur les médias sociaux :
Twitter : @LiberalQuebec
Facebook: fb.com/LiberalQuebec

N. B. Veuillez noter que vous pouvez annuler votre abonnement à notre infolettre en tout temps en cliquant sur le lien situé au bas de chaque message.

Abonnez-vous à l’infolettre pour rester informé

Rentrée parlementaire

QUÉBEC, le 27 nov. 2018 – La Coalition avenir Québec a beaucoup promis aux Québécoises et aux Québécois et il est maintenant temps pour le gouvernement de passer de la parole aux actes. La rentrée parlementaire sera l’occasion pour l’opposition officielle d’obtenir des réponses sur les promesses formulées par le premier ministre et ses ministres.

Les attentes des citoyens à l’égard du gouvernement sont très grandes. La CAQ a beaucoup promis aux Québécois. Des promesses qui nécessiteront des investissements importants. Maintenant, il est temps de passer de la parole aux actes et d’expliquer les moyens qu’ils prendront pour respecter leurs engagements. L’opposition officielle s’assurera d’obtenir des réponses.

– Pierre Arcand, chef de l’opposition officielle

La CAQ a fait plusieurs promesses lors de la dernière campagne électorale. Ils doivent maintenant donner l’heure juste aux Québécoises et aux Québécois sur leur réelle intention de réaliser ou non l’ensemble de leurs engagements. Depuis quelques semaines, ils vivent un test de réalité. Après avoir changé ou modéré leurs positions dans plusieurs dossiers, ils doivent maintenant livrer dans les délais prévus, tels qu’ils l’ont promis.

– Sébastien Proulx, leader parlementaire de l’opposition officielle

La Coalition Avenir Québec n’est pas cohérente. Le ministre de l’Éducation souhaite investir dans nos écoles et dans les services aux élèves, mais envisage une uniformisation de la taxe scolaire qui retirera 700 M$ au milieu déjà en cruel manque d’investissements. Et que dire des classes de maternelle 4 ans qu’il envisage de mettre en place rapidement, sans prendre le temps de consulter le milieu? Le gouvernement n’a ni les locaux, ni le personnel, et encore moins les budgets nécessaires pour répondre aux attentes d’une telle mesure. Le gouvernement doit faire des choix responsables et prendre le temps de consulter les acteurs du milieu.

– Marwah Rizqy, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’éducation