De la transparence et une vision d’avenir pour la mobilité et la fluidité dans la Capitale-Nationale

Accompagnée du chef intérimaire du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, et du porte-parole libéral en matière de transports et de mobilité durable, André A. Morin, la candidate du Parti libéral du Québec dans Jean-Talon, Élise Avard Bernier, souhaite qu’un groupe d’experts soit chargé d’élaborer un plan global sur la mobilité et la fluidité dans la grande région métropolitaine de Québec, et ce, à partir des données scientifiques afin d’éviter, à l’avenir, les erreurs caquistes dont les citoyens de la région subissent aujourd’hui les conséquences.

Rappelons que, pendant six ans, l’obsession caquiste pour un troisième lien autoroutier pharaonique entre Québec et Lévis a retardé la mise en place d’autres mesures pour faciliter la vie des citoyens. Après six années perdues, le problème – bien réel – de mobilité entre les deux rives n’a connu aucune amélioration. Aucun projet concret de transport en commun nord-sud, aucun projet de voie dynamique sur le pont Pierre-Laporte ni réaménagement de la tête des ponts n’ont été priorisés.

Pire encore, le Parti libéral du Québec constate que l’entretien des ponts et leur sécurité demeurent flous.

Rappelons qu’en 2022, la ministre responsable de la région et actuelle ministre des Transports, Geneviève Guilbault, prétendait, pour mieux justifier un tunnel autoroutier à 10 G $, que « les ponts ne seront pas éternels ». Or, en mai dernier, son successeur, le ministre Jonatan Julien, prétendait plutôt qu’il n’y avait « pas d’enjeu, dans un avenir prévisible » pour la pérennité des deux infrastructures.

Afin d’éclaircir cette question, le porte-parole libéral en matière de transports et de mobilité durable, M. André A. Morin, a déposé auprès de la Commission des transports et de l’environnement, une demande de mandat d’initiative pour convoquer la ministre des Transports et le CN et les entendre sur « l’enjeu de l’entretien et de la sécurité du pont de Québec ».

Le tablier du pont se veut en fin de vie utile, et les parlementaires gagneraient à en savoir plus quant à l’état actuel du pont, ses perspectives d’entretien et les enjeux de sécurité à court, moyen et long terme.

« La CAQ a mené les citoyens de Québec et de Chaudière-Appalaches en bateau avec ses promesses irréalistes sur le troisième lien. Résultat? Pendant six ans, rien n’a été fait pour améliorer la mobilité et il n’y a aucun plan global pour l’avenir du transport dans la région. Il est temps de se remettre au travail en se basant sur les faits et la science, pas sur les promesses brisées de la CAQ, un parti incapable de livrer ses engagements. »

– Marc Tanguay, porte-parole de la région de la Capitale-Nationale et chef intérimaire du Parti libéral du Québec

« Dans la région de la Capitale-Nationale, des doutes subsistent sur l’entretien et le maintien des ponts actuels, notamment le Pont de Québec, qui a 104 ans. Les ministres caquistes se contredisent et ont été incapables de faire un état de situation qui soit crédible. Les citoyens ont le droit de savoir ce qu’il en est réellement. »

– André A. Morin, porte-parole libéral en matière de transports et de mobilité durable

« Les citoyennes et les citoyens de Jean-Talon méritent un plan global sur la mobilité et la fluidité dans la Capitale-Nationale afin d’élaborer l’avenir du transport à partir des faits et des données scientifiques. Il faut notamment tenir compte du développement démographique dans la région. Il faut une vision d’ensemble et apolitique pour tout examiner : déploiement des futures phases du tramway, d’un inévitable 3e lien, du réseau de transport du RTC, d’àVélo, etc. »

– Élise Avard Bernier, candidate pour le Parti libéral du Québec dans la circonscription de Jean-Talon